Requiem pour Mona
Catherine Diran
LE LIVRE
Paris 16ème. Fric, flouze, fantasmes. Mona Cabriole, la journaliste de Parisnews, fait un reportage sur un club de sport pour pépées friquées : le Barbie’s. Dans le hammam, un cadavre de femme, flingué d’une balle dans le sexe. Mona enquête en douce, tandis qu’elle entame un nouveau sujet : la Neuvième symphonie de Beethoven jouée par le Philharmonique de Radio France. Rien à voir… Mais dans le 16ème, les choses s’entrelacent. Blé, politique, rock’n’roll, macarons et même Beethoven. Le monde est petit dans le plus grand arrondissement de Paris.
L'AUTRICE
Catherine Diran est née le jour où elle est arrivée à Paris. Fille à casquettes, elle partage sa vie entre la musique (c’est la blonde en cabriolet de « Voyage en Italie », pas Rossellini, non, Lilicub) et l’écriture. Écrivain et scénariste, elle publie au Masque et chez Au delà du raisonnable une série de polars autour de la détective déjantée Victoria Reyne. Elle travaille aujourd’hui sur son prochain album, accompagné d’un roman et de courts-métrages, pour les Editions de l’Archipel. Elle est également directrice artistique de Paris Noir, festival Européen du roman et du film noir.
ISBN 978-2-35461-019-7
12X18 cm, 174 pages,
10,5 €
Parution le 2 novembre 2011
« Mona Cabriole, alerte journaliste à Parisnews, est désormais une figure récurrente du polar hexagonal. Déjà neuf de ses aventures dans différents arrondissements parisiens ont été écrites par des auteurs aussi divers que Marin Ledun ou Joseph d'Anvers. La dixième, qui se déroule dans le 16e arrondissement, est l'oeuvre de Catherine Diran, la chanteuse du groupe Lilicub. »
Le Monde
« Dans ce dernier opus, on s’amusera à reconnaître des personnages bien réels se faire dézinguer (au vrai sens du terme pour l’un, en quelques lignes assassines pour les autres), d’autant plus que l’auteure connaît bien ce dont elle parle puisqu’elle eut la moitié du groupe Lillicub qui eut son heure de gloire dans le petit milieu « des jeunes gens modernes ». A bon entendeur salut ! »
Abus dangereux
« La partie sur le philharmonique est très bien conçue et l’explication du meurtre est un régal. Ce qui au final nous donne une aventure de Mona Cabriole à part par rapport à ses précédentes prouesses. Un roman moins rock que les autres, mais très intéressant par les voies qu’il emprunte. Ce qui ne fait que confirmer la richesse des auteurs prêtant leurs plumes à Mona Cabriole. »
Lynchmaniac, Plume libre